J'ai peine à croire que mon dernier article sur ce blog remonte au mois de juillet... Comme si depuis ma vie créative s’était arrêtée, comme si ma vie avait bifurqué vers ce monde vidée et monotone de la routine-qui-paye-les factures!
Oui et non!
Moins de temps, moins de blog, moins de création ces derniers mois, mais des idées qui fourmillent dans la tête, et depuis janvier je me suis adaptée, et dans les quelques instants volés par ci par là, une autre forme de création s'installe: fractionnée, fragmentée, lente et émaillée d'interruptions et de faux départs, de projets qui traînent non aboutis, et qui, au bord du précipice vertigineux de l'abandon inexorable, reprennent parfois vie dans un dernier sursaut d'énergie.
Peut-on (=logistiquement, familialement, "inspirationnellement") s'accrocher à l’idée chimérique d'une pratique artistique qui serait conciliable avec une vie de maman qui travaille?
La réponse a été non ces derniers mois.
Et ce serait une marque de mépris pour celles qui ont fait le choix d'une vie d'artiste à plein temps d'oser clamer que cela est possible.
J'ai discuté avec des gens, des femmes principalement, qui m'ont dit que peut-être je m'accrochais a une utopie, que peut-être j'en demandais trop.
Suis-je exigeante?
Suis-je capricieuse?
Suis-je folle?
Chaque année depuis 3 ans maintenant, ma vie créative bénéficie de son agenda personnel, un espace de papier rythmé par les années calendaires (contre les autres agendas qui régissent ma vie et qui sont basés sur les années scolaires), un espace luxueux et velouté: un agenda moleskine!
J'ai mis du temps à déterminer quelle couleur choisir cette année, cet agenda qui devra être placé sous le signe de l'abstinence créative. Quand je me suis décidée, le 26 décembre, celui que je voulais n'était plus disponible, BIEN SÛR!
J'ai dû me rabattre sur le noir au lieu du rouge, et le commander outre atlantique... il n'est arrivé que le 17 janvier! Je vous le présente, c'est l' édition spéciale "Minnie Mouse", noir à pois blancs, que j'ai un petit peu égayé par des points de couleurs.
Une année en pointillés, mais une année quand même!
Oui et non!
Moins de temps, moins de blog, moins de création ces derniers mois, mais des idées qui fourmillent dans la tête, et depuis janvier je me suis adaptée, et dans les quelques instants volés par ci par là, une autre forme de création s'installe: fractionnée, fragmentée, lente et émaillée d'interruptions et de faux départs, de projets qui traînent non aboutis, et qui, au bord du précipice vertigineux de l'abandon inexorable, reprennent parfois vie dans un dernier sursaut d'énergie.
Peut-on (=logistiquement, familialement, "inspirationnellement") s'accrocher à l’idée chimérique d'une pratique artistique qui serait conciliable avec une vie de maman qui travaille?
La réponse a été non ces derniers mois.
Et ce serait une marque de mépris pour celles qui ont fait le choix d'une vie d'artiste à plein temps d'oser clamer que cela est possible.
J'ai discuté avec des gens, des femmes principalement, qui m'ont dit que peut-être je m'accrochais a une utopie, que peut-être j'en demandais trop.
Suis-je exigeante?
Suis-je capricieuse?
Suis-je folle?
Chaque année depuis 3 ans maintenant, ma vie créative bénéficie de son agenda personnel, un espace de papier rythmé par les années calendaires (contre les autres agendas qui régissent ma vie et qui sont basés sur les années scolaires), un espace luxueux et velouté: un agenda moleskine!
J'ai mis du temps à déterminer quelle couleur choisir cette année, cet agenda qui devra être placé sous le signe de l'abstinence créative. Quand je me suis décidée, le 26 décembre, celui que je voulais n'était plus disponible, BIEN SÛR!
J'ai dû me rabattre sur le noir au lieu du rouge, et le commander outre atlantique... il n'est arrivé que le 17 janvier! Je vous le présente, c'est l' édition spéciale "Minnie Mouse", noir à pois blancs, que j'ai un petit peu égayé par des points de couleurs.
Une année en pointillés, mais une année quand même!
