Je chemine avec mes "clous tirés", ici avec un calame fait maison, taillé dans une tige de bambou noir assez fine mais dont la forme irrégulière (un coté plat) m'a permis de faire un bec assez large (+/-8mm)... Lettres moins hautes, gras plus gras, interlignage resserré...
Je l'ai taillé au cutter et j'ai toujours mes 10 doigts!
C'est un intrument MAGIQUE! Acéré, net, fluide... Comment ai-je pu m'en passer!!?
Le rendu de ce lettrage (le jeu gras/contreformes/espaces entre les lettres/vides laissés dans les gras...) ressemble aux exercices proposés par Laurent Rébéna avec l'abaisse-langue lors du stage "trait" ...
Le rendu de ce lettrage (le jeu gras/contreformes/espaces entre les lettres/vides laissés dans les gras...) ressemble aux exercices proposés par Laurent Rébéna avec l'abaisse-langue lors du stage "trait" ...
3 commentaires:
Le cutter ? Oui, pratique, incisif, net... mais magique ? ;)
Etonnante écriture.J'aime bien ce côté massif de certains traits lié à la finesse de certains autres.
Et merci à toi.
je parlais du calame... comme instrument magique ;-) !!
Cela me plaît beaucoup! Je n'avais pas vraiment écrit avec un roseau avant et j'essaye depuis qq jours....mais pour l'instant ce n'est pas magique du tout....
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